En ce 14 juillet de l'an II de Sarkoland, ayons tout de même une petite pensée pour ces femmes et ces hommes, morts il y a 220 ans en libérant leurs concitoyens du pouvoir absolu d'un roi qui, ironie de l'histoire n'avait que faire de ce lourd héritage privilégiant sa vie de famille et la serrurerie et qui en mourrut lui aussi.
Aujourd'hui, sous l'oeil bienveillant de Sarko Ier, monarque absolu se pavanant comme tel à Versailles il y a quelques semaines, défilent fièrement tous les instruments de son pouvoir : Chars, cavaliers, Patrouille de France, corps d'armée d'élite sur fond d'une musique grotesque.
Voilà à quoi sert de nos jours le 14 juillet, mais plus la moindre pensée pour nos ancêtre sans qui cette date n'aurait aucun sens, et qui doivent se retourner dans leur tombe en voyant comment cet anniversaire est aujourd'hui instrumentalisée !